Morne Lune est (sauf erreur de ma part) la première I.F de Balrog, qu'il décrit sur le forum iFiction en ces termes :
"Le jeu est très très court (finissable en moins de 5 minutes), propose peu d'interactions, n'a qu'une esquisse de scénario, volontairement sous-développé... il s'agit plus d'un test que d'autre chose."
(source : http://ifiction.free.fr/taverne/viewtopic.php?f=14&t=843&p=8182#p8182)
J'ai donc bien conscience qu'on ne peut pas juger ce jeu comme quelque chose qui aurait la prétention d'être un "produit fini" longuement poli.
Le jeu est disponible à cette adresse :
"Le jeu est très très court (finissable en moins de 5 minutes), propose peu d'interactions, n'a qu'une esquisse de scénario, volontairement sous-développé... il s'agit plus d'un test que d'autre chose."
(source : http://ifiction.free.fr/taverne/viewtopic.php?f=14&t=843&p=8182#p8182)
J'ai donc bien conscience qu'on ne peut pas juger ce jeu comme quelque chose qui aurait la prétention d'être un "produit fini" longuement poli.
Le jeu est disponible à cette adresse :
*
Premier walkthrough
Dans la chambre...
Ce
lit, bien que douillet, ne satisfait plus. Il est probablement déjà
très tard, mais impossible de trouver le sommeil... et inutile de se
rendormir.
Dans l'obscurité...
Désormais
assis sur ce lit, en proie à des pensées pas tout à fait des plus
pures. Les yeux ouverts, il apparait comme évident qu'il serait
judicieux de commencer à s'en servir.
Se servir de quoi ? De ses yeux ? D'un objet encore non précisé ?
À la fenêtre...
Cette pathétique demie-Lune n'a rien de réjouissant, mais qu'importe. De toute façon, pour l'heure, il ne s'agit que d'observer.
Morne Lune
An Interactive Fiction par BALROG
Release 1 / Serial number 100525 / Inform 7 build 5Z71 (I6/v6.31 lib 6/12N)
Vous
descendez donc par la fenêtre. Une fois dehors, vous faites en sorte
que vos fenêtres et volets aient l'air fermés, et ne laissent plus
filtrer l'air.
Près de votre maison
Il
fait sombre et frais. La maison dans le dos, vous pouvez distinguer
nombre de choses dans l'obscurité. Parmi celles-ci, selon vous, seule la
Lune a un quelconque intérêt. Ce n'est pas ici que vous aurez à
travailler, de toute manière.
Au
Nord, vous pouvez emprunter un petit chemin qui se poursuit jusqu'à une
forêt sombre. À l'Est et à l'Ouest, rien d'autre que des passages vers
d'autres membres de l'espèce humaine.
On
ne sait pas trop pourquoi on se trouve dans la situation où l'on se
trouve en début de partie, c'est-à-dire à l'extérieur de sa propre
maison dont on est sorti par la fenêtre, dans le but "d'observer".
Observons.
>x maison
Vous n'êtes certainement pas sorti pour regagner votre maison.
Cela se fera, mais, pour l'heure, préoccupez-vous plutôt de la manière dont vous aurez à traiter les évènements.
Quels
événements ? Ce début de jeu est beaucoup trop laconique, cela ne
produit pas du tout une impression mystère, engageante, mais au
contraire, c'est décourageant et vaguement exaspérant.
>x obscurité
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
>x choses
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
>x choses
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
C'est
dommage de n'avoir pas implémenté de réponses à ces actions-là. Le jeu
me demande d'observer, et alors même que le paysage autour de moi est
déjà très limité, les quelques mots sur lesquels on peut être tenté
d'agir n'offrent aucun retour.
>penser
Quelle bonne idée.
>penser à la forêt
Merci de reformuler. Je n'ai compris que : penser.
>penser à la maison
Merci de reformuler. Je n'ai compris que : penser.
Même
commentaire : c'est dommage, pour un jeu au début aussi laconique, de
ne pas avoir prévu quelques informations supplémentaires à découvrir par
ce biais.
>crier
Le silence, coriace, perdure.
>appeler
Je ne connais pas ce verbe.
>écouter
Mis à part les bruissements de votre corps, vous ne percevez le moindre son.
>x moi
Après
réflexion, vous renoncez à l'idée de contempler votre visage... Vous ne
disposez ni de l'envie ni des outils pour ça. Quant au reste de votre
corps, vous n'en avez que faire pour le moment.
>x corps
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
Les
bruissements de mon corps ? J'ai vaguement envisagé (je ne sais pas
pourquoi, peut-être à cause de l'ambiance nocturne, lunaire, vaguement "gothique" de tout cela) que le personnage-joueur était un genre de
loup-garou ou quelque chose dans ce genre. Mais rien ne vient ni étayer
ni infirmer cette thèse.
>x lune
Cette demie-Lune...
Son faible éclat vous inspire le plus profond des dégoûts.
>x chemin
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
>x forêt
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
Cette demie-Lune...
Son faible éclat vous inspire le plus profond des dégoûts.
>x chemin
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
>x forêt
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
Je lis dans le code source du jeu :
The
arbre is backdrop in NATURE with the description "Ce maudit vent fait
remuer la tête des arbres.". Understand "arbres", "branche", "branches"
as arbre.
C'est bien, mais pourquoi ne pas avoir ajouté le synonyme "forêt", et pourquoi avoir limité cette réponse aux rooms où l'on est dans la forêt, uniquement ?
>x sol
Vous
savez pertinament que le parterre n'a aucune sorte d'intérêt. Ceci dit,
vous prenez garde à rester sur vos deux jambes et à ne pas faire de pas
précipités.
Faute de frappe : on écrit "pertinemment".
Pourquoi veillé-je à ne pas faire de pas précipités ?
>l
Près de votre maison
Il
fait sombre et frais. La maison dans le dos, vous pouvez distinguer
nombre de choses dans l'obscurité. Parmi celles-ci, selon vous, seule la
Lune a un quelconque intérêt. Ce n'est pas ici que vous aurez à
travailler, de toute manière.
Au
Nord, vous pouvez emprunter un petit chemin qui se poursuit jusqu'à une
forêt sombre. À l'Est et à l'Ouest, rien d'autre que des passages vers
d'autres membres de l'espèce humaine.
>o
Ce n'est pas précisément l'heure idéale pour aller rendre visite à vos sympathiques voisins.
>e
Ce n'est pas précisément l'heure idéale pour aller rendre visite à vos sympathiques voisins.
Sympathique voisins ? Ironie ? Message caché ? L'histoire n'y répondra pas.
>n
Un petit chemin vers les ténèbres
Vous suivez un étroit chemin traversant une plaine sur laquelle se trouvent quelques maisons familières.
Il se poursuit en ligne droite vers le Nord, votre territoire officiel se trouvant au Sud.
>x maisons
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
>x chemin
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
Là
aussi, dans un paysage déjà si réduit, pourquoi ne pas donner quelques
menus détails sur le décor ? Juste pour récompenser le joueur qui fait
l'effort de taper quelque chose ? Et même si ça ne change rien au
scénario à proprement parler...
>n
À la lisière de la forêt
Le chemin principal s'arrête ici.
Au
Nord, la douce noirceur de cette forêt familière. Non loin d'ici, au
Nord-Ouest, une silhouette humaine se dégage de la fenêtre d'une cabane
en bois miteuse. Au Sud, le chemin conduit à votre tant appréciée
maison.
>n
Au coeur de la forêt
Vous y voilà. Un lieu agréable et rassurant. Autour de vous, rien d'autre que les ténèbres, le silence... la paix.
C'est ici que tout a commencé pour vous; que d'un humain fébrile et piégé, vous êtes devenu un être vivant véritable.
Vous foulez un petit sentier qui s'enfonce dans la forêt. Pour le moment, seul avancer importe.
Ceci-dit, certains, acablés par la peur, auraient probablement choisis de faire marche arrière sur le champ.
Faute de frappe à "accablés".
"C'est ici que tout a commencé pour vous; que d'un humain fébrile et
piégé, vous êtes devenu un être vivant véritable" ... Je ne comprends
pas ce que ça signifie (ni dans le jeu, ni tout court) et que faire de
cette "information" pendant ma partie.
>x ténèbres
Vous ne voyez rien de tel, à moins que cela ne soit sans grande importance.
>écouter
Mêlé
au bruit de vos pas, vous parvenez à entendre les bruissements
provoqués par quelques formes de vie des alentours. De temps à autres,
ce sont les feuillages qui s'agitent.
Faute de frappe : "mêlés au bruit [...] les bruissements".
>sentir
Vous ne sentez rien de particulier.
>penser
Quelle bonne idée.
>l
Au coeur de la forêt
Vous y voilà. Un lieu agréable et rassurant. Autour de vous, rien d'autre que les ténèbres, le silence... la paix.
C'est ici que tout a commencé pour vous; que d'un humain fébrile et piégé, vous êtes devenu un être vivant véritable.
Vous foulez un petit sentier qui s'enfonce dans la forêt. Pour le moment, seul avancer importe.
Ceci-dit, certains, acablés par la peur, auraient probablement choisis de faire marche arrière sur le champ.
>n
Dans les profondeurs de la forêt
Voilà donc, comme prévu, une impasse...
Ici,
la végétation se fait plus dense, les arbres sont plus serrés. Le sol
sous vos pieds est toujours le même : couvert de brindilles, d'herbes et
de petits cailloux.
À travers les branches, vous pouvez distinguer l'éclat risible de la Lune.
Il est possible de rebrousser chemin en vous dirigeant vers le Sud.
>n
Inutile d'errer ainsi dans la nature.
>e
Inutile d'errer ainsi dans la nature.
>o
Inutile d'errer ainsi dans la nature.
>s
Au coeur de la forêt
Vous y voilà. Un lieu agréable et rassurant. Autour de vous, rien d'autre que les ténèbres, le silence... la paix.
C'est ici que tout a commencé pour vous; que d'un humain fébrile et piégé, vous êtes devenu un être vivant véritable.
Vous foulez un petit sentier qui s'enfonce dans la forêt. Pour le moment, seul avancer importe.
Ceci-dit, certains, acablés par la peur, auraient probablement choisis de faire marche arrière sur le champ.
>e
Inutile d'errer ainsi dans la nature.
>o
Inutile d'errer ainsi dans la nature.
>s
À la lisière de la forêt
Le chemin principal s'arrête ici.
Au
Nord, la douce noirceur de cette forêt familière. Non loin d'ici, au
Nord-Ouest, une silhouette humaine se dégage de la fenêtre d'une cabane
en bois miteuse. Au Sud, le chemin conduit à votre tant appréciée
maison.
>no
Devant la cabane
À cette distance, vous pouvez d'autant plus constater l'état déplorable de cet habitat.
La
porte, qui ressemble étrangement à une planche en carton, n'est pas
ouverte. En faisant le tour de la cabane vous ne voyez, mis à part la
fenêtre, d'autres ouvertures vers l'extérieur.
Au Sud-Est se trouve un large chemin de terre.
>x maison
Admirer ce modeste habitat ne vous mènera à rien.
>x fenêtre
Les vitres sont en verre, malgré tout.
Elles transmettent une lueur jaunâtre et laissent apparaitre une ombre pour le moins intrigante.
>x ombre
Il semblerait qu'un homme à la carrure imposante et à la cinquantaine passée se tienne non loin de la fenêtre.
Il est désormais de face, et vous pouvez remarquer qu'il tient quelque chose dans sa main droite.
Malheureusement, vous risquez fortement de vous faire repérer si vous approchez plus.
>parler à l'homme
Il serait préférable de ne pas engager la conversation, à un moment pareil, avec cet inconnu.
>tuer homme
Tuer... pourquoi feriez vous une telle chose, hein ?
>saluer homme
Vous saluez l'homme.
Je suppose que cette réponse-là est une réponse par défaut d'Inform, qui du coup jure un peu avec les réponses précédentes.
>parler à l'homme
Il serait préférable de ne pas engager la conversation, à un moment pareil, avec cet inconnu.
>tuer homme
Tuer... pourquoi feriez vous une telle chose, hein ?
>saluer homme
Vous saluez l'homme.
Je suppose que cette réponse-là est une réponse par défaut d'Inform, qui du coup jure un peu avec les réponses précédentes.
>approcher
Je ne connais pas ce verbe.
>entrer
Ce n'est pas précisément l'heure idéale pour aller rendre visite à vos sympathiques voisins.
>x main droite
Merci de reformuler. Je n'ai compris que : examiner la main.
>x main
Dans cette main, vous croyez distinguer quelque chose qui vous est familier. Cet être... n'est peut-être pas la proie idéale.
>l
Devant la cabane
À cette distance, vous pouvez d'autant plus constater l'état déplorable de cet habitat.
La
porte, qui ressemble étrangement à une planche en carton, n'est pas
ouverte. En faisant le tour de la cabane vous ne voyez, mis à part la
fenêtre, d'autres ouvertures vers l'extérieur.
Au Sud-Est se trouve un large chemin de terre.
>se
À la lisière de la forêt
Le chemin principal s'arrête ici.
Au
Nord, la douce noirceur de cette forêt familière. Non loin d'ici, au
Nord-Ouest, une silhouette humaine se dégage de la fenêtre d'une cabane
en bois miteuse. Au Sud, le chemin conduit à votre tant appréciée
maison.
>s
Un petit chemin vers les ténèbres
Vous suivez un étroit chemin traversant une plaine sur laquelle se trouvent quelques maisons familières.
Il se poursuit en ligne droite vers le Nord, votre territoire officiel se trouvant au Sud.
>e
Ce n'est pas précisément l'heure idéale pour aller rendre visite à vos sympathiques voisins.
>o
Ce n'est pas précisément l'heure idéale pour aller rendre visite à vos sympathiques voisins.
>s
Près de votre maison
Il
fait sombre et frais. La maison dans le dos, vous pouvez distinguer
nombre de choses dans l'obscurité. Parmi celles-ci, selon vous, seule la
Lune a un quelconque intérêt. Ce n'est pas ici que vous aurez à
travailler, de toute manière.
Au
Nord, vous pouvez emprunter un petit chemin qui se poursuit jusqu'à une
forêt sombre. À l'Est et à l'Ouest, rien d'autre que des passages vers
d'autres membres de l'espèce humaine.
>e
Ce n'est pas précisément l'heure idéale pour aller rendre visite à vos sympathiques voisins.
>o
Ce n'est pas précisément l'heure idéale pour aller rendre visite à vos sympathiques voisins.
>entrer
Ce n'est pas précisément l'heure idéale pour aller rendre visite à vos sympathiques voisins.
>fouiller sol
Vous ne trouvez rien d'intéressant.
>n
Un petit chemin vers les ténèbres
Vous suivez un étroit chemin traversant une plaine sur laquelle se trouvent quelques maisons familières.
Il se poursuit en ligne droite vers le Nord, votre territoire officiel se trouvant au Sud.
>fouiller sol
Vous ne trouvez rien d'intéressant.
>n
À la lisière de la forêt
Le chemin principal s'arrête ici.
Au
Nord, la douce noirceur de cette forêt familière. Non loin d'ici, au
Nord-Ouest, une silhouette humaine se dégage de la fenêtre d'une cabane
en bois miteuse. Au Sud, le chemin conduit à votre tant appréciée
maison.
>fouiller sol
Vous ne trouvez rien d'intéressant.
>n
Au coeur de la forêt
Vous y voilà. Un lieu agréable et rassurant. Autour de vous, rien d'autre que les ténèbres, le silence... la paix.
C'est ici que tout a commencé pour vous; que d'un humain fébrile et piégé, vous êtes devenu un être vivant véritable.
Vous foulez un petit sentier qui s'enfonce dans la forêt. Pour le moment, seul avancer importe.
Ceci-dit, certains, acablés par la peur, auraient probablement choisis de faire marche arrière sur le champ.
>fouiller sol
Vous ne trouvez rien d'intéressant.
>n
Dans les profondeurs de la forêt
Voilà donc, comme prévu, une impasse...
Ici,
la végétation se fait plus dense, les arbres sont plus serrés. Le sol
sous vos pieds est toujours le même : couvert de brindilles, d'herbes et
de petits cailloux.
À travers les branches, vous pouvez distinguer l'éclat risible de la Lune.
Il est possible de rebrousser chemin en vous dirigeant vers le Sud.
>fouiller sol
Vous grattez la terre jusqu'à découvrir le dessus d'une petite boîte grise.
>prendre boite
Vous mettez cette boîte dans votre poche.
...
Voilà
un moment que vous savourez cette virée nocturne. Il serait peut-être
temps de cesser vos activités douteuses, pensez-vous.
>ouvrir boite
Imposible de l'ouvrir. C'est solidement verouillé, et la serrure est franchement peu commune.
Fautes de frappe à "impossible" et "verrouillé".
>x serrure
Vous tâtez la serrure... mais pour quoi faire ? Ce n'est pas comme si vous aviez sur vous de quoi l'ouvrir.
>s
Au coeur de la forêt
Vous y voilà. Un lieu agréable et rassurant. Autour de vous, rien d'autre que les ténèbres, le silence... la paix.
C'est ici que tout a commencé pour vous; que d'un humain fébrile et piégé, vous êtes devenu un être vivant véritable.
Vous foulez un petit sentier qui s'enfonce dans la forêt. Pour le moment, seul avancer importe.
Ceci-dit, certains, acablés par la peur, auraient probablement choisis de faire marche arrière sur le champ.
>i
Vous avez:
une boite
>x boite
Il s'agit d'un petite et lourde boîte métallique, un peu rouillée.
>casser boîte
Vous connaissez très bien vos limites... inutile de s'acharner sur un ojet aussi résistant.
>s
À la lisière de la forêt
Le chemin principal s'arrête ici.
Au
Nord, la douce noirceur de cette forêt familière. Non loin d'ici, au
Nord-Ouest, une silhouette humaine se dégage de la fenêtre d'une cabane
en bois miteuse. Au Sud, le chemin conduit à votre tant appréciée
maison.
L'homme
qui tourne en rond dans sa cabane... vous commencez à vous rappeler
dans quelles circonstances vous l'avez connu. Heureusement, lui ne vous
connait pas encore. Il ne serait pas superflu d'aller lui rendre visite,
un de ces quatre.
>no
Devant la cabane
À cette distance, vous pouvez d'autant plus constater l'état déplorable de cet habitat.
La
porte, qui ressemble étrangement à une planche en carton, n'est pas
ouverte. En faisant le tour de la cabane vous ne voyez, mis à part la
fenêtre, d'autres ouvertures vers l'extérieur.
Au Sud-Est se trouve un large chemin de terre.
>frapper porte
Vous
brisez violemment la porte d'un coup de pied, puis entrez calmement
dans cette cabane. Soudain, vous êtes plongé dans le noir.
Vous
sentez un courant d'air frais. À moins qu'il ne s'agisse de la Peur.
Prenant garde à ne pas vous faire surprendre, vous avancez jusqu'à la
cuisine.
Théoriquement "peur" ne prend pas de majuscule.
Dans la cuisine
Le mobilier est très simple : une table, deux chaises, un placard.
>x table
Une ancienne table en bois, de petite taille et apparemment peu résistante.
>x chaises
De petites et fragiles chaises en bois un peu tordues.
>x placard
Un
meuble tout à fait ordinaire. Il est ouvert et ne contient rien de plus
que quelques aliments secs ainsi que des outils en bois pour manger, et
autres babioles sans intérêt.
>x aliments
Du vieux saucisson, du fromage de l'an 300 et du pain dur...
>x outils
Un objet on ne peut plus banal dans un lieu pareil.
>x babioles
Un objet on ne peut plus banal dans un lieu pareil.
>x table
Une ancienne table en bois, de petite taille et apparemment peu résistante.
>x fenêtres
Les fenêtres sont ouvertes et leur position varie selon les désirs du vent. Souvent, elles percutent la cabane avec lourdeur.
>fermer fenêtres
Non. L'idée d"être enfermé ici vous déplait.
>x aliments
Du vieux saucisson, du fromage de l'an 300 et du pain dur...
>x outils
Un objet on ne peut plus banal dans un lieu pareil.
>x babioles
Un objet on ne peut plus banal dans un lieu pareil.
>x table
Une ancienne table en bois, de petite taille et apparemment peu résistante.
>x fenêtres
Les fenêtres sont ouvertes et leur position varie selon les désirs du vent. Souvent, elles percutent la cabane avec lourdeur.
>fermer fenêtres
Non. L'idée d"être enfermé ici vous déplait.
>monter
Il
serait préférable de connaitre la position de ce vieil homme avant de
s'en aller... bien qu'il puisse en effet être difficile de garder son
calme, dans de telles circonstances.
La position de ce vieil homme ? Qu'est-ce que cela veut dire ? Difficile de garder son calme en QUELLES circonstances ?
La totalité de ce qui arrive dans ce jeu m'est incompréhensible.
>sortir
Vous
pourriez, en empruntant la porte en miette, sortir d'ici. Ce n'est pas
impossible. Mais vous ne le souhaitez pas vraiment. À vrai dire, vous ne
savez que faire désormais.
La fatigue commence à se faire ressentir...
La puissance du vent ne cesse de croître... tandis que vous faiblissez.
Vous ressentez ça... de la colère !
Effectivement
je ne sais que faire désormais : je ne peux pas sortir, je ne peux pas
monter vers la pièce où est l'homme. Je ne sais pas pourquoi je fatigue,
je ne vois pas pourquoi tout-à-coup le vent intervient dans le jeu, en
rapport apparemment avec ma force.
Cherchons dans le code :
Cherchons dans le code :
Going down in Cuisine is acting like a fugitive.
Entering fenetreOuverte is acting like a fugitive.
Instead of acting like a fugitive :
say "Vous enjambez la fenêtre. Une fois les pieds au sol, vous l'apercevez...[line break]Accroupi dans les ténèbres...[line break]Le reflet de la sphère d'argent sur l'embout métallique... une agressive lumière.[line break]Soudain, une explosion. Impossible de bouger, foudroyé par cette détonation.[line break]Terrassé... une vive douleur. Vous sentez le sang couler...[line break]N'ayant plus la force de penser, vous sombrez.";
End the game in death.
Instead of shouting in Cuisine :
say "Vous hurlez ! Fou de rage, possédé par la haine, vous commencez à détruire de vos mains tout ce qui est.[line break]De l'intérieur de la cabane, il ne reste qu'un tas d'objets fracassés.[line break]Soulagé, vous sortez par cette porte endommagée.[paragraph break]Dans la tranquilité de la nuit...[line break]Cet homme a, semble-t-il, fui.[line break]La boîte, dans votre poche... vous savez à peu près ce qu'elle contient. Mais les choses se sont compliquées, cette nuit. Avez-vous essayé de... tuer ?[paragraph break]Sans vous précipiter, vous retournez chez vous, marchant sous cette Lune pâle à moitié morte.[paragraph break]Allongé sur ce mou matelas... vous vous endormez, pris par une légère angoisse.".;
End the game in victory;
say "[paragraph break]Félicitations, vous avez vu la mauvaise fin ! =)".
Entering fenetreOuverte is acting like a fugitive.
Instead of acting like a fugitive :
say "Vous enjambez la fenêtre. Une fois les pieds au sol, vous l'apercevez...[line break]Accroupi dans les ténèbres...[line break]Le reflet de la sphère d'argent sur l'embout métallique... une agressive lumière.[line break]Soudain, une explosion. Impossible de bouger, foudroyé par cette détonation.[line break]Terrassé... une vive douleur. Vous sentez le sang couler...[line break]N'ayant plus la force de penser, vous sombrez.";
End the game in death.
Instead of shouting in Cuisine :
say "Vous hurlez ! Fou de rage, possédé par la haine, vous commencez à détruire de vos mains tout ce qui est.[line break]De l'intérieur de la cabane, il ne reste qu'un tas d'objets fracassés.[line break]Soulagé, vous sortez par cette porte endommagée.[paragraph break]Dans la tranquilité de la nuit...[line break]Cet homme a, semble-t-il, fui.[line break]La boîte, dans votre poche... vous savez à peu près ce qu'elle contient. Mais les choses se sont compliquées, cette nuit. Avez-vous essayé de... tuer ?[paragraph break]Sans vous précipiter, vous retournez chez vous, marchant sous cette Lune pâle à moitié morte.[paragraph break]Allongé sur ce mou matelas... vous vous endormez, pris par une légère angoisse.".;
End the game in victory;
say "[paragraph break]Félicitations, vous avez vu la mauvaise fin ! =)".
Comme je le craignais : ces deux fins, que l'on gagne ou que l'on perde n'expliquent rien du tout.
Accessoirement, faute de frappe à "tranquillité".
Accessoirement, faute de frappe à "tranquillité".
Essayons l'autre "bonne" fin que détaille le walkthrough sur l'IFDB.
Deuxième walkthrough
Dans la chambre...
Ce
lit, bien que douillet, ne satisfait plus. Il est probablement déjà
très tard, mais impossible de trouver le sommeil... et inutile de se
rendormir.
Dans l'obscurité...
Désormais
assis sur ce lit, en proie à des pensées pas tout à fait des plus
pures. Les yeux ouverts, il apparait comme évident qu'il serait
judicieux de commencer à s'en servir.
À la fenêtre...
Cette pathétique demie-Lune n'a rien de réjouissant, mais qu'importe. De toute façon, pour l'heure, il ne s'agit que d'observer.
Manifestement
non, il ne s'agit pas du tout d'observer mais d'accomplir un acte
(chercher une boîte dans la forêt puis la ramener chez soi pour
l'ouvrir) que l'on doit à peu de choses près deviner (ou en réalité,
accomplir en testant des actions partout, au hasard) et pour des raisons
intradiégétiques inconnues et qui ne seront jamais expliquées.
Morne Lune
An Interactive Fiction par BALROG
Release 1 / Serial number 100525 / Inform 7 build 5Z71 (I6/v6.31 lib 6/12N)
Vous
descendez donc par la fenêtre. Une fois dehors, vous faites en sorte
que vos fenêtres et volets aient l'air fermés, et ne laissent plus
filtrer l'air.
Près de votre maison
Il
fait sombre et frais. La maison dans le dos, vous pouvez distinguer
nombre de choses dans l'obscurité. Parmi celles-ci, selon vous, seule la
Lune a un quelconque intérêt. Ce n'est pas ici que vous aurez à
travailler, de toute manière.
Au
Nord, vous pouvez emprunter un petit chemin qui se poursuit jusqu'à une
forêt sombre. À l'Est et à l'Ouest, rien d'autre que des passages vers
d'autres membres de l'espèce humaine.
>n
Un petit chemin vers les ténèbres
Vous suivez un étroit chemin traversant une plaine sur laquelle se trouvent quelques maisons familières.
Il se poursuit en ligne droite vers le Nord, votre territoire officiel se trouvant au Sud.
>n
À la lisière de la forêt
Le chemin principal s'arrête ici.
Au
Nord, la douce noirceur de cette forêt familière. Non loin d'ici, au
Nord-Ouest, une silhouette humaine se dégage de la fenêtre d'une cabane
en bois miteuse. Au Sud, le chemin conduit à votre tant appréciée
maison.
>n
Au coeur de la forêt
Vous y voilà. Un lieu agréable et rassurant. Autour de vous, rien d'autre que les ténèbres, le silence... la paix.
C'est ici que tout a commencé pour vous; que d'un humain fébrile et piégé, vous êtes devenu un être vivant véritable.
Vous foulez un petit sentier qui s'enfonce dans la forêt. Pour le moment, seul avancer importe.
Ceci-dit, certains, acablés par la peur, auraient probablement choisis de faire marche arrière sur le champ.
>n
Dans les profondeurs de la forêt
Voilà donc, comme prévu, une impasse...
Ici,
la végétation se fait plus dense, les arbres sont plus serrés. Le sol
sous vos pieds est toujours le même : couvert de brindilles, d'herbes et
de petits cailloux.
À travers les branches, vous pouvez distinguer l'éclat risible de la Lune.
Il est possible de rebrousser chemin en vous dirigeant vers le Sud.
>n
Inutile d'errer ainsi dans la nature.
>x sol
Vous tatez le sol de vos pieds nus, et sentez la fraîcheur du métal sous votre pouce.
>fouiller sol
Vous grattez la terre jusqu'à découvrir le dessus d'une petite boîte grise.
>prendre boite
Vous mettez cette boîte dans votre poche.
...
Voilà
un moment que vous savourez cette virée nocturne. Il serait peut-être
temps de cesser vos activités douteuses, pensez-vous.
>s
Au coeur de la forêt
Vous y voilà. Un lieu agréable et rassurant. Autour de vous, rien d'autre que les ténèbres, le silence... la paix.
C'est ici que tout a commencé pour vous; que d'un humain fébrile et piégé, vous êtes devenu un être vivant véritable.
Vous foulez un petit sentier qui s'enfonce dans la forêt. Pour le moment, seul avancer importe.
Ceci-dit, certains, acablés par la peur, auraient probablement choisis de faire marche arrière sur le champ.
>s
À la lisière de la forêt
Le chemin principal s'arrête ici.
Au
Nord, la douce noirceur de cette forêt familière. Non loin d'ici, au
Nord-Ouest, une silhouette humaine se dégage de la fenêtre d'une cabane
en bois miteuse. Au Sud, le chemin conduit à votre tant appréciée
maison.
L'homme
qui tourne en rond dans sa cabane... vous commencez à vous rappeler
dans quelles circonstances vous l'avez connu. Heureusement, lui ne vous
connait pas encore. Il ne serait pas superflu d'aller lui rendre visite,
un de ces quatre.
>s
Un petit chemin vers les ténèbres
Vous suivez un étroit chemin traversant une plaine sur laquelle se trouvent quelques maisons familières.
Il se poursuit en ligne droite vers le Nord, votre territoire officiel se trouvant au Sud.
>s
Près de votre maison
Il
fait sombre et frais. La maison dans le dos, vous pouvez distinguer
nombre de choses dans l'obscurité. Parmi celles-ci, selon vous, seule la
Lune a un quelconque intérêt. Ce n'est pas ici que vous aurez à
travailler, de toute manière.
Au
Nord, vous pouvez emprunter un petit chemin qui se poursuit jusqu'à une
forêt sombre. À l'Est et à l'Ouest, rien d'autre que des passages vers
d'autres membres de l'espèce humaine.
>s
Ce n'est pas précisément l'heure idéale pour aller rendre visite à vos sympathiques voisins.
>entrer
Ce n'est pas précisément l'heure idéale pour aller rendre visite à vos sympathiques voisins.
Il aurait été plus judicieux que le verbe "entrer" seul ait le même résultat que l'action suivante :
Il aurait été plus judicieux que le verbe "entrer" seul ait le même résultat que l'action suivante :
>entrer maison
Ainsi, vous remontez dans votre chambre.
Dans l'obscurité...
Avec impatience, une clé est sortie de sous le lit.
Le chemin vers la serrure est trouvé.
Dans la quiétude de la nuit, entouré par le silence...
Le son d'un verrou qui bouge retentit, accompagné par un discret rire malsain.
Sortent de leur enclo des bouts de papier.
Faute de frappe : "enclo" au lieu de "enclos".
En temps voulu, vous prendrez connaissance du contenu de ces documents.
Pour agir.
Vous avez dévouvert la bonne fin, ce qui est louable.
Mais tâchez de vous méfier s'il vous arrivait de refaire une escapade de ce genre-là.
Les choses ne se passent pas toujours aussi bien.
Faute de frappe : "dévouvert" au lieu de "découvert".
"Mais tâchez de vous méfier s'il vous arrivait de refaire une escapade
de ce genre-là. Les choses ne se passent pas toujours aussi bien." :
désolé Balrog, je n'ai pas la moindre idée de ce qui vient de se passer.
*
Je cite ici un dialogue sur le forum iFiction (toujours à la même adresse) que j'ai lu après avoir joué au jeu et écrit une partie des commentaires de ce transcript :
"Otto Grimwald : Le style est assez froid, lapidaire, et donne un peu l'impression que le joueur est un loup garou.
Balrog : Bah, c'est aussi un peu voulu ça !
Otto Grimwald : Et sinon je suis curieux de savoir ce qu'il y a dans la boîte !
Balrog : Ce qu'il y a dans la boite, faut pas le dire ! Je crois bien que je vais laisser une zone d'ombre à propos de cet élément..."
Le côté extrêmement laconique et lacunaire de l'histoire est donc volontaire ; le soucis c'est que, si parfois ça ajoute du charme à une histoire, ici ça ne fonctionne pas. Le mystère ici est plus frustrant qu'excitant.
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Je cite ici un dialogue sur le forum iFiction (toujours à la même adresse) que j'ai lu après avoir joué au jeu et écrit une partie des commentaires de ce transcript :
"Otto Grimwald : Le style est assez froid, lapidaire, et donne un peu l'impression que le joueur est un loup garou.
Balrog : Bah, c'est aussi un peu voulu ça !
Otto Grimwald : Et sinon je suis curieux de savoir ce qu'il y a dans la boîte !
Balrog : Ce qu'il y a dans la boite, faut pas le dire ! Je crois bien que je vais laisser une zone d'ombre à propos de cet élément..."
Le côté extrêmement laconique et lacunaire de l'histoire est donc volontaire ; le soucis c'est que, si parfois ça ajoute du charme à une histoire, ici ça ne fonctionne pas. Le mystère ici est plus frustrant qu'excitant.
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